Bruxelles, le 28 juin 2012. EFOW (European Federation of Origin Wines), grâce à l’aide d’un bloggeur passionné de vin, lance un blog multilingue (français, anglais, italien et espagnol) sur la suppression des droits de plantation, prévue le 1er janvier 2016, et plus largement sur la dérégulation de la viticulture.
Le blog www.plantingrights.eu, multilingue, a pour objectif d’être une source privilégiée d’information mais aussi un lieu où pourront s’exprimer et réagir toutes les personnes intéressées par le sujet. Actualités, ouvrages et études, témoignages, concours, le blog aura pour objectif d’informer et sensibiliser mais aussi de mobiliser. Le blog sera animé par VinSant, bloggeur passionné de vin et le ton employé sera décalé pour permettre au plus grand nombre de mieux comprendre les enjeux de ce débat. Il sera aussi possible de partager ses idées via la page Facebook Planting Rights et suivre les discussions sur Twitter en anglais, français, italien et espagnol (PlantingEN, PlantingFR, PlantingIT, PlantingES)
A travers ce blog, EFOW franchit une nouvelle étape dans le combat contre la dérégulation du secteur. Riccardo RICCI CURBASTRO, président d’EFOW déclare : « Après les professionnels et les élus, il est de notre responsabilité de commencer à informer les citoyens des conséquences de la dérégulation du secteur sur l’économie mais aussi sur l’aménagement du territoire, l’environnement, la qualité et la diversité, la culture, etc. Nous avons décidé à travers ce blog de donner la parole aux citoyens et de leur permettre de devenir des acteurs de ce débat ». La mise en place de ce blog sera suivie à l’automne par d’autres actions de communication en direction du grand public. Il ajoute : « sous le poids de l’opinion publique, la Commission avait renoncé à autoriser le coupage entre vin blanc et vin rouge pour l’élaboration du rosé. Nous entendons convaincre l’opinion publique qu’elle a aussi son mot à dire sur la dérégulation des plantations de vignes. C’est un modèle de société qui sera remis en cause si nous ne revenons pas sur cette décision ».